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 Le jour se lève à peine - Sha

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Scilia
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Scilia


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Le jour se lève à peine - Sha Empty
MessageSujet: Le jour se lève à peine - Sha   Le jour se lève à peine - Sha Icon_minitimeSam 11 Sep - 21:16

LE JOUR SE LÈVE A PEINE


Auteur : Sha chabijm@ifrance.com

Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas. Je n'ai pas été payé pour écrire cette histoire, je ne l'ai inventée que pour divertir les fans de la série.

Genre : Nouvelle

Résumé : La chronique d'un combat pour la liberté

Note : Écrivez-moi pour dire ce que vous en pensez. Merci à tous pour les encouragements.

_____________________________________________________________

J'ai embrassé l'aube d'été
Rien ne bougeait encore au front des palais
L'eau était morte.
Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois
J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent
et les ailes se levèrent sans bruit.

Arthur RIMBAUD

_____________________________________________________________

Ceci est extrait de la chronique des âges sombres, l'histoire d'une légende et d'un combat.



Les lueurs de l'aube pointent à peine sur l'horizon que déjà les gardes chiourmes aboient leurs ordres et que pleuvent les coups.
C'est pourtant la meilleure période de la journée. Doux euphémisme.
Dans une heure, lorsqu'un soleil se sera levé, le camp deviendra une fournaise et au lever du deuxième soleil, l'enfer passe pour un aimable centre de remise en forme.
Oui j'arrive encore à avoir de l'humour.
C'est la seule chose qui nous reste.
Nous ne possédons plus rien. Tout a été détruit, réduit en cendre, dévasté lors de l'attaque.
J'en ai seulement entendu parlé dans les récits.
Les anciens nous racontent l'histoire de la terre dans ces récits.
Ils les ont recopiés génération après génération. Nous apprenons à lire en secret dans ces cahiers.

On dit que quand l'attaque eu lieu, personne ne s'y attendait. Ils avaient une telle avance technologique que la guerre ne dura que cinq jours.
Selon les récits, 80 pour cent de la population mondiale fut tuée lors de l'attaque.
Les autres, nos ancêtres, furent déportés sur d'autres planètes pour y servir d'esclaves.
La légende raconte aussi que des personnes vivent encore sur Terre. Elle dit encore qu'un groupe de guerriers a pu s'échapper et viendra mettre fin à notre esclavage.
Les récits parlent de la terre d'avant, des animaux, des plantes et de nombreuses choses qui nous paraissent extraordinaire et qui leur étaient si banales.
J'en rêve très souvent, j'ai la tête rempli d'histoires.

Avec Tim, nous avons décidé de nous échapper.
Bien entendu, nous n'en avons parlé à personne. Les murs ont souvent des oreilles. Certains, pour un petit privilège ou pour une ration plus consistantes, seraient près à
vendre père et mère.
Nous savons que, dans deux jours, nos geôliers vont célébrer une sorte de rite à leur dieu vivant.
Les gardes seront moins nombreux et surtout moins vigilants.

J'ai appris par cœur depuis mon enfance les seules coordonnées qui nous soient parvenues, celle de la terre.
Nous passerons l'anneau de lumière. Nous savons que si nous sommes repris, c'est la mort qui nous attend.
Ce n'est pas grave. Au moins nous serons morts en essayant de reprendre notre liberté.
...
Ça y est, nous avons réussi à leur fausser compagnie. Nous attendons une journée avant d'aller à l'anneau.
...
J'entre les coordonnées. Personne à l'horizon. L'anneau s'éclaire. Tim et moi nous nous regardons et sautons dans la flaque bleue.
Nous atterrissons de l'autre coté.
Au moment ou nous le franchissons, il y a comme un petit grésillement et les lumières s'allument toutes seules.
Sommes-nous sur Terre?

Visiblement la porte est dans un bâtiment assez important.
Il n'y a plus grand chose a part une machine avec une plaque de verre lumineux dans lequel s'inscrivent les signes de la porte.
Nous fouillons un peu les alentours, partout sur les portes est peint le chiffre 28. L'endroit ne nous semble pas dangereux et nous partons explorer chacun de notre
côté...

Soudain, j'entends Tim crier.
Je me précipite, je passe une porte... Là, je suis saisi de stupeur : au bout d'une immense, table comme attendant on ne sait quel rendez-vous, deux orbites vides me regardent.
Mais qui était-ce ? Depuis combien de temps ce squelette est-il là, trônant dans cette salle ?
Je me tourne : " Tim, ça va !"
" Ouais, c'est bon mais ça fiche la trouille."
Nous nous approchons prudemment du quidam.

Un objet a traversé son crâne de part en part, laissant un petit trou net d'un coté et une béance déchiquetée de l'autre. Sur ses lambeaux de vêtements, on distingue encore un
sigle et trois lettres : SGC.
Qu'est-ce que ça signifie ? Deux étoiles ternies sont encore visibles sur ses épaules,
son bras décharné pend le long de ce qui devait être un siège. Au sol, se trouve un objet
métallique corrodé de la longueur d'une grande main. Il semble comporter une sorte de
poignée.
Comme tout cela est fragile, je viens de frôler ces morceaux de vêtements et, tout est parti en poussière. Cependant, ma maladresse nous a permis de découvrir de nouvelles coordonnées pour l'anneau. En effet, sur le sol, au milieu de la poussière, se trouvait
un carré de papier blanc enrobé d'une drôle de matière transparente, lisse et brillante. Dessus, à l'encre noire... quatre séries de symboles.

Je propose à Tim d'aller visiter plus avant ce bâtiment.
Il y a peu à voir. Tout y est en bien piètre état. Au gré de notre exploration, nous arrivons cependant devant deux volets métalliques, ne comportant aucune poignée mais un simple bouton sur lequel nous appuyons à tout hasard. Cela a pour effet de faire s'ouvrir ce qui s'avère être une double porte, donnant sur un minuscule réduit.
A l'intérieur, d'autres boutons sont alignés et numérotés de 0 à 28. J'appuie sur le 27. Les portes se referment sur nous. Nous ressentons une légère secousse et quelques
secondes plus tard, elles s'ouvrent de nouveau.
Nous visitons ainsi quelques niveaux, nous y trouvons toujours le même spectacle : du vide et de la poussière.
J'appuie sur le 0 et nous montons durant un assez long temps.
Enfin, les portes s'ouvrent.

Nous sommes maintenant dans un tunnel au bout duquel nous apercevons le jour. Des carcasses rouillés jonchent le chemin. Une végétation luxuriante envahit tout. Dehors,
quelques vestiges de clôtures indiquent une ancienne présence. Un soleil unique vient réchauffer l'atmosphère, le tout tempéré par une brise légère.
Cet endroit ressemble aux descriptions de nos vieilles légendes.

Ne trouvant pas trace d'êtres vivants, nous n'osons pas aller plus avant et nous retournons sur nos pas jusqu'à l'anneau.
Il nous faut maintenant entrer les coordonnées. Nous prenons les dernières notées sur le papier. En l'absence d'une console de commande, nous envisageons d'utiliser le seul
engin des lieux qui comporte lui aussi des symboles.
Je remarque des flèches : haut, bas, droite, gauche. J'appuie sur celle pointant vers le haut. Sur l'écran, un carré se déplace dans la direction souhaitée, ainsi une nouvelle
coordonnée est sélectionnée... Comment l'activer ?
A tout hasard, Tim appuie sur les plus larges touches. L'une d'elle nous donne le résultat attendu : l'anneau fonctionne. Aux suivants...

Le passage est ouvert, nous sautons encore une fois dans l'inconnu.

De l'autre coté, personne pour nous accueillir, nous sommes sur un plateau rocheux et les premières constructions se situent cinq ou six cents mètres plus loin. Nous nous y rendons et là encore, tout paraît abandonné.
Cependant, en contrebas de ce plateau s'étale une vallée dans laquelle nous attend une spectacle extraordinaire.
Deux énormes demi-sphères sont installées là, posées l'une à coté de l'autre sur le fond de la vallée, elles rendent la proche forêt minuscule.


Nous voulons y aller, il nous faut trouver un passage. Tim m'indique un petit sentier sur notre droite.
C'est un raidillon peu engageant mais c'est le seul chemin qui s'offre à nous. Mille fois nous risquons de nous tordre les chevilles, mille fois nous glissons, nous rattrapant aux racines et aux branches. Arrivés en bas, il nous reste encore beaucoup de marche à
travers une végétation dense et hostile.
Après un bivouac près d'une source, nous approchons du but.
Les hémisphères ne sont autre que de gigantesques bâtiments, parfaitement lisses. Cependant, alors que nous nous trouvons à un pas ou deux d'une des structures, une
ouverture se crée automatiquement dans la paroi.
A l'intérieur, nous trouvons, disposés en cercle, des tubes transparents où reposent des Hommes !
Ils semblent dormir. Soudain, des voyants se mettent à clignoter, les sarcophages s'ouvrent et leurs occupants s'éveillent lentement."Quel spectacle !"
Tim pointe du doigts leurs vêtements : "As-tu vu ? Ce sont les mêmes signes que sur terre."
En effet, tous portent le même insigne à leur manche, un triangle surmonté d'un petit cercle.

Un homme se tourne vers nous : "Bonjour, qui êtes-vous ?"
"Voici Tim Klaus et je suis Duncan Williamson. Nous nous échappés d'un camp de travail de la planète Kiria.
"Camp de travail ?"
"Oui, nous étions esclaves d'individus sans pitié."
"A quoi ressemblaient-ils ?"
"A des hommes, mais leur yeux semblaient s'allumer lorsqu'ils parlaient de leur voix métallique."
"Des goaul'ds !"
"C'est ça. Vous les connaissez ? Ils ont déportés nos ancêtres de leur planète d'origine."
"Votre planète d'origine ?"
"Elle s'appelait Terre !"
"La Terre ! Mais nous en sommes aussi."

L'homme s'approche et me tend la main... "Au fait j'oubliais, je suis le colonel Jack O'Neill." Il se tourne... "Voici le major Samantha Carter, Jonas Quinn et Teal'c."
Nous sursautons. La personne qu'il vient de nommer Teal'c est un jaffa, comme nos geôliers.
"Ne vous inquiétez pas, il est bien dans notre camp !"
Puis le colonel nous présente les autres personnes.

Serait-il possible qu'ils soient les guerriers de la légende ?
Ils sont bien peu nombreux.

Le colonel reprend :"Vous n'êtes que deux ?"
Je confirme.
Il se tourne vers celle qu'il appelle Carter.
"Major, ne nous avaient ils pas dit que l'on se réveillerait si d'autres humains
venaient ?"
"Mon colonel, ce ne sont pas des mites en pull-over tout de même" dit-elle en nous désignant.
"Ah non Carter, l'humour décalé, c'est moi d'habitude !"
Elle lui sourit.


Devant notre air interrogateur, il demande au major de nous compter leur histoire :

Ils sont les seuls survivants de ce qu'ils nomment le SGC ; C'est le bâtiment dans
lequel est enfermé l'anneau sur Terre.
Elle nous explique aussi que, lors de attaque, quatre équipes étaient en dehors du SGC
et qu'aucune n'a jamais pu rentrer : la porte s'était bloquée.
En effet, elle avait mis au point un système désactivant tout les systèmes du SGC lors
de l'approche de goaul'ds.
Elle nous raconte ensuite que les quatre équipes se sont regroupées.
Ils ont bien essayé d'aller sur le site bêta mais sans succès : la porte avait déjà du être
enterrée.
C'est alors qu'ils ont rencontré un peuple technologiquement très évolué qui leur a proposé de les plonger dans un état suspendu en attendant l'hypothétique venue d'autres humains.


Suite à cette histoire le colonel reprend : "Savez-vous en quelle année nous sommes ?"
Tous se tournent vers moi attendant la réponse comme une sentence.
"Les anciens tenaient le compte des jours sombres de l'esclavage. Le dernier compte
dont j'ai connaissance est 66475 jours."

Carter blanchit... "Cela fait donc environ 182 ans que nous sommes en stase mon
colonel."

"Waouh !" lança le dit colonel non moins ému.

"Mais comment nous avez-vous trouvé ?" demande le dénommé Feretti.
C'est à mon tour de narrer notre histoire. Celle du reste de l'humanité, prisonnière des goaul'ds, celle de nos souffrances et de notre espoir.

"Savez-vous s'il existe d'autres camps?" demande O'Neill.
Je fais signe que oui.
Le major Carter scrute le visage du colonel.
"Si vous pensez à la même chose que moi, nous ne sommes que seize, mon colonel."
"Tss, tss Carter, je me disais que ces fichus serpents ont bien quelques vaisseaux de
transports. Nous avons Teal'c qui sait les piloter et vous avec Jolinar. Si le site bêta
n'est pas trop éloigné..."
Tim l'interrompt : "Je sais où sont leur vaisseaux de l'espace."
Il se tourne alors vers moi: "Oui Duncan, à l'écart du camp. Ils y viennent pour chercher
le minerai."
"Nous venons d'un camp satellite, cela ne devrait pas être trop difficile mais je ne connais pas les coordonnées de la planète."

"Pas de problème" répond le major Carter, "l'ordinateur du SGC a enregistré les
coordonnées."
"Bien allons-y" lance O'Neill.

Nous repassons la porte vers la Terre.
Après une émouvante mais courte cérémonie en mémoire du général Hammond, tous
se mettent au travail.
Le major trouve les coordonnées de Kiria et tente, sans succès, d'établir le contact avec
le site bêta.

O'Neill nous demande si nous connaissons le maniement des armes.
Je lui réponds que non.
Il nous montre comment se servir d'une de leur armes. Nous en avons déjà vu dans les
mains de certains gardes. Ils appellent ça un zat'.

Nous expliquons que c'est avec ça que nos geôliers font disparaître nos morts.
Teal'c ajoute que, comme cela, les gardes pensent nous rabaisser. En effet, un jaffa
doit être incinéré selon le rituel pour accéderà l'après-vie sinon son âme erre pour
l'éternité.

"Bien, dessinez-moi un p'tit plan du camp" dit le colonel "et pendant que vous y êtes,
ajoutez quelques précisions sur les environs !" Nous partageons un repas rapide.


"Au fait major, le site bêta, c'est loin de.. euh.. la planète...euh..."
"Kiria, mon colonel ; environ trois jours d'hyperespace."
"C'est long" ajoute t-il.
"Oui et il faudra réussir à entrer en contact avec les habitants."

Le lendemain...

Ca y est, nous passons la porte vers Kiria.
Personne au abord de la porte.
Ils se déploient selon les ordres de O'Neill. Tim et moi restons près de lui.

Il y a peu de gardes près des transporteurs.
Ils sont neutralisés facilement.
Nous grimpons dans le vaisseau.
Teal'c décolle.
Les trois jours passent et nous semblent long dans cet engin peu spacieux.
Enfin nous arrivons.

A peine sortis de l'hyperespace, deux chasseurs nous interceptent.
"Ici chasseurs des forces aériennes de la nouvelle Terre, veuillez vous identifiez:"

"Je suis le colonel O'Neill de SG1. Je suis accompagnéde mon équipe ainsi que d'SG 3
, 7 et 11 et de deux civils."
Le silence... La tension est palpable.
La radio grésille : ""veuillez nous suivre. Toute manœuvre déplacée de votre part
sera interprétée comme un acte belliqueux et nous ouvrirons aussitôt le feu."

"Entendu" répond O'Neill.
Teal'c manœuvre le vaisseau et nous nous posons sur la planète.
Elle ressemble énormément à la Terre.
A notre sortie du vaisseau, des gardes en armes nous attendent.
Ils nous escortent vers un bâtiment proche.

Ils nous font pénétrer dans une salle, vérifient que nous ne sommes pas des goaul'ds
et nous enferment.
O'Neill râle un peu.

Plus tard, la porte de la salle s'ouvre et deux personnes entrent.
"Bonjour colonel, je m'appelle Peter Fraisier."
"Fraisier ?" s'exclame le colonel, "de la famille de Janet Fraisier?"
"Oui c'était mon aïeule, plus exactement Cassandra Fraisier l'était. Vous êtes bien tel qu'elle vous a décrite dans ses mémoires. Elle se doutait que vous aviez survécus mais
comment se fait-il que vous soyez toujours vivant?"

Le major Carter raconte nos histoires respectives.
"Votre présence ici ne passera pas inaperçue et cela va faire du bruit."
"Nous sommes là pour une raison bien précise" le coupa O'Neill, nous connaissons les
coordonnées d'une planète ou des milliers d'humains sont réduis en esclavage.
Nous espérons que vous allez nous aider, vous les descendants de terriens."
"C'est tentant colonel, mais je ne peux en décider seul. Nous sommes dix au conseil."
"Pouvons nous voir le conseil? "demande alors le major Carter.

"Je vais l'en aviser" dit Peter Fraisier.
Sur ces mots il nous quitte.
Nous attendons encore. On nous sert à manger dans notre cellule.
O'Neill râle encore : "Ces politiques ont pas changés..."

Peter Fraisier reparaît trois heures plus tard.

"Veuillez me suivre, le conseil a accepter votre requête."
Pour aller à la maison du conseil, nous traversons la ville.
Jonas fait remarquer qu'ils semblent respecter l'environnement. En effet, la ville est
verte, aérée, en un mot, agréable.
A notre arrivée, on nous guide vers une grande pièce ou neuf hommes et femmes nous
attendent.

"Je vous présente le conseil de la nouvelle Terre. Conseillers voici les membres du SGC
et les deux civils dont je vous ai parlé."


Le chef du conseil nous souhaite la bienvenue puis O'Neill et Carter leur répètent ce qu'
ils avaient dit précédemment.
Après leurs interventions, les membres du conseil se retirent. Ils vont prendre leur
décision.

Nous attendons encore. Deux heures plus tard, ils reviennent enfin.
"Nous, le conseil de la nouvelle Terre allons vous aider et accueillir les futurs réfugiés
sur notre planète. Nous sommes restés trop longtemps isolés. Nous allons reprendre la lutte que nos ancêtres avaient commencé. Colonel O'Neill, major Carter et à vous tous,
bienvenue ! Vous êtes désormais libre d'aller. Vous êtes chez vous ici.
...
L'attaque est minutieusement préparée. Elle se fera simultanément par la porte et par
l'espace.
Avec Tim nous sommes intégrés à l'unité du SGC.
Nous passons la porte.
Les chasseurs ont déjà fait des dégâts.
Les gardes se défendent mais sont vite débordés. Nous libérons les esclaves. Tim et moi
retrouvons nos proches avec grand plaisir.
Nous leur faisons traverser la porte vers la nouvelle Terre où ils sont pris en charge
immédiatement.
Les unités d'attaque continuent d'avancer pour libérer d'autres camps plus importants.
Les gardes sont plus nombreux. Nous piétinons un peu.
O'Neill me crie quelque chose. Une troupe de jaffas arrive sur notre gauche. Ils ouvrent le feu.
Soudain c'est le néant.
Je reprends doucement conscience. J'ai l'impression que ma tête explose.
Je suis ligotés à une espèce de siège. Une tête sans visage me regarde.
"J'ai enfin ce que je voulait" dit-elle avec le timbre caractéristique des goaul'ds,
"je vais enfin pouvoir éliminer les restes de la Taur'i."


"Maître Anubis, que fait-on de l'humain?" demande un serviteur.
"Renvoyez- le dans un camp et crucifiez-le. Cela ôtera aux autres toute velléité de fuite."

On m'emmène pour le transfert. Malgré tout je garde espoir.
Je suis sur qu'ils vont venir me délivrer.
Oui, oui je suis sur qu'ils vont venir...

FIN
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Le jour se lève à peine - Sha
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