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 Lettre aux sentiments - Sam

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Scilia
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Scilia


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Lettre aux sentiments - Sam Empty
MessageSujet: Lettre aux sentiments - Sam   Lettre aux sentiments - Sam Icon_minitimeSam 11 Sep - 21:25

« Lettre aux sentiments »


Auteur : Sam_xf_sg1 titesam@club-internet.fr

Rating : R S/J, un peu de réflexion sur les priorités de la vie… J

Spoilers : Oulah… On va dire quelques épisodes un peu partout… J Juste après la saison 5.

Résumé : L’amour en héritage…

Dédicace : Tite puce, Ti frère, celle-ci vous est totalement dédiée. Je pense que vous comprendrez pourquoi. Profitez de ce bonheur qui vous est donné et que vous méritez tant. Je vous aime et vous sers tous les deux très fort contre mon cœur.

Note de l'auteur : Les persos ne m'appartiennent pas... Bla bla bla… Vous m’excuserez mais je passe sur ce détail car on se demande qui n’est pas encore au courant !!J))


*************************************************************************


« Pour le guerrier, il n’existe pas d’amour impossible. Il ne se laisse pas intimider par le silence, par l’indifférence ou par le regret. Il sait que derrière le masque glacé dont se servent les gens, il y a un cœur de braise. Aussi le guerrier prend-il plus de risque que les autres. Il cherche sans répit l’amour de quelqu’un même si cela implique d’entendre souvent le mot « non », de rentrez chez soi vaincu, de se sentir rejeté corps et âme.

Un guerrier ne se laisse pas effrayer quand il cherche ce dont il a besoin. Sans amour, il n’est rien. »

_ Le Manuel du Guerrier de la lumière – Paulo Coelho_


**************************************************************************




Le Colonel O’Neill et le Major Carter attendaient depuis vingt bonnes minutes dans la salle de briefing. Ils étaient assis face à face, chacun reportant son attention sur un objet de la pièce. Un silence des plus lourds régnait entre les deux officiers. Tout ce qu’ils savaient, c’était que le Général Hammond leur avait demandé de se présenter afin de leur remettre quelque chose que Daniel leur avait laissée.

Aucun d’eux ne parlait… Trop occupés à essayer de chercher ce que pouvait bien être cet « héritage ». Après tout, c’était sans doute la seule chose qui leur resterait de leur ami. Daniel leur manquait terriblement.


Sam souffrait beaucoup de la disparition de l’archéologue. C’était un ami, un frère, avec qui elle pouvait partager de nombreuses choses sans peur de jugement. Sa mort laissait un vide immense qu’elle ne parvenait pas à gérer. Les moindres recoins de la base le ramenaient à ses souvenirs…

Mais ce qui la rendait le plus malheureuse, c’était le fait de ne pas pouvoir partager sa douleur avec quelqu’un.

La jeune femme avait essayé d’en parler avec O’Neill mais il semblait prendre les choses bien mieux qu’elle. Un peu trop à son goût d’ailleurs !! Comment pouvait-il réagir ainsi, comme si ces six dernières années d’aventure, d’amitié n’avaient jamais existé… Pourtant, c’était de Jack dont elle avait le plus besoin à ce moment précis.


De son côté, le militaire souffrait tout autant, même s’il se gardait bien de le montrer. C’était ça façon à lui de se protéger. Il repoussait la scientifique de peur qu’elle ne découvre à quel point lui aussi était affecté par la mort de Daniel. Il s’en voulait, mais il n’avait pas d’autre choix. Il aurait voulu pouvoir la prendre dans ses bras pour ne plus la lâcher, pour que son chagrin soit moins lourd à porter. Mais, c’était au-dessus de ses forces.

Et puis, il sentait que leur ami n’était pas parti bien loin. Comme s’il pouvait revenir d’un moment à l’autre. C’était un sentiment étrange…



H : Major, Colonel !

Les deux militaires sortirent de leur pensée pour saluer leur supérieur.


S & J : Mon Général !


H : Repos ! Je suis désolé pour mon retard, un problème de dernière minute avec SG7.


Le général vint s’asseoir avant de reprendre.


H : Des soldats ont commencé à mettre de l’ordre dans les affaires personnelles du Docteur Jackson et… hum


Il reporta son attention sur l’enveloppe qu’il tenait dans ses mains depuis son arrivée. Celle-ci semblait le rendre nerveux.


H (leur montrant l’enveloppe) : … Et ceci a été trouvé. Elle est adressée à vos deux noms. Je vais vous laisser prendre connaissance de son contenu. La salle de briefing reste à votre disposition.


Hammond déposa la lettre devant lui, se leva et se dirigea vers la porte.


J : Mon Général ! ( celui-ci se retournant) Merci…


H : Mais je vous en prie…


Sur ce, il quitta la salle.


Sam et Jack restèrent plantés là, les yeux rivés sur l’enveloppe, ne sachant quoi en penser. Aucun d’eux n’osait esquisser un seul geste, se posant des dizaines de questions. Que contenait cette enveloppe ? Pourquoi leur était-elle adressée à tous les deux ? Pourquoi Teal’c n’était-il pas mentionné ?


O’Neill se racla la gorge et regarda son second. Il devait faire quelque chose…


J : Bien… Et si on l’ouvrait ?


Carter sursauta au son de sa voix et fixa son colonel d’un œil distrait. Ils s’étaient si peu parler depuis la mort de Daniel qu’elle s’était habituer au silence qui envahissait la pièce lorsqu’ils se retrouvaient ensemble.

Elle se leva, saisit l’enveloppe et vint s’asseoir sur une chaise à côté de Jack afin qu’il puisse lire ensemble.

La proximité de son supérieur la rendait très nerveuse, et c’est d’une main presque tremblante que la jeune femme ouvrit la lettre. Elle posa les feuilles sur la table et tous deux se penchèrent pour commencer à lire.






Sam, Jack,


J’ai décidé de vous écrire ces quelques mots de peur de ne pas avoir le temps de vous le dire de vive-voix. Je conçois tout à fait que cela puisse vous paraître étrange mais je n’aurais pas pu partir l’esprit tranquille sans vous avoir parler à tous les deux.

La raison pour laquelle cette lettre vous est commune, est qu’il était important que vous preniez conscience de certaines choses. De choses qui vous touchent… Tous les deux ! Il n’y avait pas d’autres moyens. Je vous pris donc de m’excuser par avance pour les révélations que je vais faire sur chacun de vous…


Jack, tant de temps a passé depuis notre premier départ vers l’inconnu. Je me souviens encore de votre tête lorsque le vortex s’est ouvert sous vos yeux. Vous ne pensiez pas que j’y parviendrais même si vous étiez là dans le cas d’une probable réussite de mes recherches. Je ne peux pas vous en blâmer… J’avais moi-même du mal à y croire. Je n’avais même encore pas vu la porte lorsque j’ai trouvé la clé de son mystère.

A l’époque, vous aviez ce regard imperturbable et supérieur qui vous rendait si détestable. Vous aviez des idées arrêtées sur tout ce qui nous entourait… C’est peut-être le rôle d’un meneur d’homme. Votre vision du monde était si dure…

Lors de cette mission, il m’est souvent arrivé de vous observer à la dérobé. Je cherchais à comprendre… C’est ainsi que j’ai aperçu ces regards remplis de tristesse qui se retrouvaient rapidement masqués par des expressions vides de toute émotion. Je crois que c’est ce qui m’a empêché de vous détester vraiment, ceci malgré votre comportement à mon égard. Je ne connaissais rien de votre passé mais j’en lisais assez dans vos yeux pour comprendre que vous aviez traversé de douloureuses épreuves.

Puis, il y a eu Skaara… Ce garçon a réussi à briser ce mur que vous aviez forgé autour de vous. Votre besoin d’en finir avec la vie semblait s’amoindrir à son contact. C’était indéniable !


Lorsqu’un an plus tard, je vous ai revu franchir cette porte qui devait séparer définitivement nos deux mondes, je n’ai pu que remarquer que ce changement avait pris de l’ampleur pendant mon absence. Votre humour m’était encore étranger, et j’ai pu découvrir une partie de vous que je ne soupçonnais pas. Oh, bien entendu, il m’a fallut du temps pour m’y habituer. Mais le temps s’écoulant, vos sarcasmes, vos blagues faisaient que les situations, même les plus critiques, s’en trouvaient dédramatisées. Aussi exaspérant que vous soyez, je vous apprécie pour tout cela. Pour tout ce qui fait que vous êtes Jack O’Neill et personne d’autre.


Vous n’avez jamais été un homme de grands mots, allant droit au but de part vos propos. Mais ce que vous ne savez pas, c’est que votre cœur se lit au travers de vos actions, de vos gestes, de vos yeux.

Les moments de véritable confidence ont été bien rares entre nous. En y réfléchissant bien, les seuls instants où il nous est arrivé de nous confier l’un à l’autre étaient lors de soirées bien arrosées, tout en jouant aux cartes. L’alcool jouant son rôle de sérum de vérité et les cartes créant un paravent virtuel… un mur protecteur. Je crois que c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour que vous puissiez vous libérer.

Vous avez cette façon unique de tout tourner en dérision lorsqu’une discussion prend un tour trop personnel à votre goût. Pourtant Jack, ce que vous vouliez me cacher et finissiez par formuler plus ou moins maladroitement, je le savais déjà. Je ne souhaitais que vous aider à mettre des mots sur vos émotions, à cesser d’enfouir vos peines et vos peurs derrière ce mur d’humour caustique.

J’ai du m’y prendre à plusieurs reprise pour trouver un moyen. Un moyen de faire ce que je ne pouvais pas faire moi-même : Vous libérer de votre passé pour accueillir l’avenir.

Un jour, vous avez proposé de pimenter les parties de cartes en imposant un gage au perdant. En y réfléchissant bien, nous ressemblions à deux adolescents, mais cela m’amusait. Sans que vous vous en rendiez compte, j’ai fait en sorte que les gages deviennent plus sérieux, plus… Personnels. Bien évidemment, pour parvenir à mes fins, il fallait que je m’implique aussi, que je prenne des risques. Car, après tout, ce pouvait être moi qui serais amener à parler. Chaque partie était comme une clé ouvrant une porte sur l’une de nos deux âmes. Seulement, nous ne savions jamais à l’avance qu’elle serait celle concernée.


J’ai appris ainsi que vous vous sentiez seul et que, malgré cela, vous étiez certain de ne pas être fait pour l’amour. Si seulement vous pouviez réaliser votre erreur… Comment ne pas être fait pour l’amour quand on éprouve des sentiments aussi fort pour quelqu’un et que ceux-ci permettent de trouver le courage de se lever tous les matins.

Je suis sûr que vous savez où je veux en venir. L’avantage, c’est que maintenant, vous ne risquez plus de m’étrangler pour avoir évoquer le sujet ( sourire). Mauvaise blague… J’ai vraiment passé beaucoup trop de temps à vos côtés.


Il n’y a pas si longtemps de ça, je vous ai demandé ce que vous ressentiez pour elle. Vous m’avez répondu : « Pourquoi cette question ? ». L’art de répondre à une question par une autre… J’ai laissé tomber, comprenant que ce n’était visiblement pas le moment de mettre le sujet sur le tapis. Toutefois, je tiens à vous répondre pendant que je le peux encore.

Tout simplement parce que j’ai vu que vous agissiez avec elle bien différemment qu’avec d’autres soldats. Vous la regardez différemment. Vos gestes, vos regards… Tout reflète l’attachement que vous lui portez.

Je ne dis pas que vous ne savez pas garder votre professionnalisme car ce serait un mensonge. Dans tous les cas, vous savez prendre les décisions qui vous incombent et ne souffrez aucune insubordination, enfin tant qu’il ne s’agit pas de vos propres insubordinations... Vous avez même trouvé le courage de tirer sur la femme que vous aimez alors que son corps était habité par une entité extraterrestre. Mais dans les moments de détente, vos sentiments se lisent comme dans un livre ouvert.

J’ai réussi à vous faire dire que vous aviez une profonde tendresse pour elle. Cela m’a fait sourire. Moi aussi, j’ai une grande tendresse à son égard, elle est comme une sœur à mes yeux. C’est mon lien avec une représentation familiale que je n’ai pas eu.

Vous, vous l’aimez Jack ! Vous l’aimez comme un homme peut aimer une femme au point de préférer mourir que de la perdre. Si vous aviez pu vous voir quand il nous est arrivé de parler d’elle et de ses recherches. Depuis le temps que je vous connais, je n’ai jamais vu de regard empreint de tant de tendresse. Cela en est bouleversant !

Je savais, et j’en suis encore certain, qu’elle seule pouvait définitivement abattre votre mur. Briser cette coquille qui ne vous préserve que du bonheur.




Sam, je ne pensais pas pouvoir trouver une âme-sœur telle que vous. C’est un de mes plus beaux cadeaux. Une amitié renforcée par des liens presque filiaux. Pourtant, nous ne sommes pas du même sang. Comment expliquer que l’on puisse comprendre quelqu’un et que ce quelqu’un puisse vous comprendre en retour, et ce, même au travers des silences.

C’est pour cela que je tiens à ce que vous trouviez enfin la paix et le bonheur.

Cessez de renier vos émotions ! Je sais qu’en tant que militaire, vous êtes entraînée pour cela. Mais en amour, est-ce réellement une solution ?

J’ai vu votre détresse lorsque Jack est resté coincé sur Edora ou lorsqu’il s’est retrouvé perdu dans l’espace avec Teal’c. Vous sembliez si calme, si professionnelle. Mais votre âme hurlait de chagrin et je le ressentais dans chaque fibre de mon être. Sûrement parce que je suis déjà passé par là… Que je sais ce que c’est que de perdre un être cher.

Un jour, vous m’avez dit avoir peur de former un couple… Peur de souffrir. Vous m’avez expliqué que vous aviez peur de perdre ce bien tant désiré, que suite à votre histoire, vous n’aviez qu’une confiance limitée en les hommes.

Pourtant, il faudrait être aveugle pour ne pas voir que vous avez confiance en Jack au point de lui confier votre vie.

Si vous pouviez voir à quel point il vous rend heureuse lorsque vous vous trouvez dans la même pièce. La moindre de ses remarques ou de ses pitreries vous fait sourire. Et je ne parle pas d’un sourire de circonstance. Je parle de celui qui illumine votre visage et fait briller vos yeux d’un éclat sans pareil.


A son contact, vous êtes devenue plus détendue… Il vous arrive même d’en venir à faire des blagues aussi douteuses que les siennes.

Je n’oublierai jamais mon étonnement lors de notre dernière visite chez les Tok’Ra, juste avant que je ne parte en mission avec votre père. Je m’en souviens comme si c’était hier…


Jacob : Hyu participera à la réunion !

S : Je comprends pas, c’est un assistant ou un grand maître ?

Jacob : Sam, tu te crois drôle ?

S : C’était une toute petite plaisanterie !

J : Très drôle !


Il y a 6 ans de cela, vous ne vous seriez jamais permise de faire ce genre de choses. Jack vous a changée comme vous l’avez changé.



Je suis conscient que ma vie arrive à son terme et qu’il n’y a plus rien à faire. C’est ainsi !! Je vous vois tous chercher une solution qui n’existe pas, mais je ne peux pas vous en empêcher.

Il me restait un dernière chose à faire et je voulais absolument la réaliser. Ceci est le pourquoi de cette lettre.


J’aimerai tant que vous preniez conscience de l’importance que vous avez l’un pour l’autre. Vous avez tant de choses à vous apporter.

Je sais, il y a le règlement… Pourtant, vous avez démontré à plusieurs reprises que vos sentiments ne prenaient pas le pas sur votre devoir. Vous l’avouer ne changera pas ce que vous ressentez déjà ; cela vous aidera seulement à ne pas simplement toucher du doigt un bonheur que vous pourriez prendre dans vos bras.


Je ne dis pas que la vie de couple est toujours facile. Il m’est impossible de vous dire ce qu’il en sera demain, de vous promettre que ce sera pour la vie. Mais si j’ai appris une chose, c’est qu’il vaut mieux vivre ce que la vie a à nous donner. Ne pas se poser de question et saisir tous les petits bonheurs du quotidien. Les problèmes du lendemain seront là bien assez tôt pour qu’on y pense déjà. Les heures que l’on passe sur des doutes inutiles sont autant de moments de bonheur qui s’envolent.


Je voulais partir en étant sûr que tout irait bien pour vous. Merci pour ces années passées à vos côtés. Merci pour vos soutiens, vos rires… Je vous garde dans mon cœur et serez toujours près de vous.


Et n’oubliez pas… A fuir le bonheur, on fuit la vie…


Avec tendresse,


Daniel


Le regard de Jack accrocha la signature de son ami. C’était sûrement la dernière fois qu’il la verrait. Se redressant sur son siège, O’Neill se demandait pourquoi il se sentait si… Soulagé ! Il aurait dû se sentir en colère contre Daniel. Les conversations qu’il avait eues avec lui n’étaient pas censées être connues de Sam. Mais d’un autre côté, le poids qu’il portait sur les épaules depuis si longtemps semblait être allégé par ces quelques lignes. Elle savait…


Prenant son courage à deux mains, Jack dirigea son attention sur son major et c’est à ce moment-là qu’il vit qu’elle pleurait. En silence, les larmes coulaient lentement sur ses joues sans qu’aucun son de soit émis. Cette vision lui brisa le cœur et ses dernières barrières s’effondrèrent.


La jeune femme n’en croyait pas ses yeux. Elle en avait bien plus appris sur son supérieur en quelques minutes qu’elle ne l’avait fait en six ans ou presque.

Les larmes lui échappaient, n’ayant plus de force pour les combattre.

Soudain, Sam sentit un contact chaud et doux sur sa joue. Elle se tourna pour voir les yeux de Jack rivés sur elle. Il la regardait avec regret et tendresse, la main posée sur sa joue.


De son côté, O’Neill ne pouvait pas supporter le regard perdu de la jeune femme.


J ( tout en lui caressant doucement la joue) : Sam… Je suis désolé…


S ( éclatant en sanglots) : Jack… J’ai besoin de vous…


Il l’a prit dans ses bras et les berça tout doucement, prononçant des mots tendres et répétant, qu’il était là maintenant et qu’il prendrait soin d’elle.


Une fois calmée, Sam se redressa un peu, se séparant quelque peu de Jack. Il se fixèrent un long moment dans les yeux, chacun sondant l’âme de l’autre à la recherche de la confirmation de ce qu’ils avaient lu dans la lettre. Doucement, leur visage se rapprochèrent et leurs lèvres se frôlèrent. Ce contact provoqua une telle décharge électrique qu’ils s’écartèrent un instant l’un de l’autre, surpris par cet effet. Puis, voulant être toujours plus près l’un de l’autre, ils s’embrassèrent à nouveau, avec toute la profondeur de leur sentiment.

Leur besoin de réconfort avait prit le pas sur la nécessité de parler. Le temps des mots viendrait bien assez tôt.



Fin


Chacun de nous est un guerrier de la lumière… A sa façon…
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MessageSujet: Re: Lettre aux sentiments - Sam   Lettre aux sentiments - Sam Icon_minitimeMer 9 Mai - 14:55

vraiment très joli, rien a redire Razz
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