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 Le magicien des séries - Scilia

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Scilia
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Scilia


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MessageSujet: Le magicien des séries - Scilia   Le magicien des séries - Scilia Icon_minitimeLun 12 Juin - 13:35

Je sais Valmont, tu veux la suite des mes fics mais j'ai pondu ca hier soir sans réfléchir... et je crois que ca voit lol

Le magicien des séries



Disclaimer : Les personnages de CSI, ne m’appartiennent pas et c’est bien dommage !

Auteur : Scilia@laposte.net

Classement : Total délire !

Archives : https://bricbrac.forumactif.com/index.forum

Résumé : Comment les équipes de CSI sont-elles nées ? Histoire d’un accouchement plus ou moins douloureux !

Note de l’auteur : Je suis totalement responsable des bêtises que j’ai écrit dans cette fic et j’espère que Jerry et Anthony auront la bonté de me pardonner ! D’un autre coté, ça m’étonnerait qu’ils lisent cette histoire et que je les croise un jour alors… je risque pas grand chose lol Ça faisait longtemps que je ne m’étais pas tapée un bon délire (je sais les trois petits cochons et cendrillon ne sont pas terminés mais c’est la faute des membres du forum http://www.csiexperts.fr/index.php si je suis obsédée par CSI en ce moment ! Je ne mords toujours pas donc n’hésitez pas à me huer si vous le désirez ! Enfin vous pouvez aussi m’écrire pour me dire que vous vous êtes éclatés devant mes bêtises, hein ! J’arrête de bavasser et je vous souhaite une bonne lecture ^___^

***



Il était fois, aux Etats-Unis d’Amérique, un créateur de séries bien ennuyé. Tout ce qu’il voyait à la TV, lui paraissait fade et sans saveur, rien que des choses déjà-vu tel ces feuilletons à l’eau de rose où le héros épouse l’héroïne à la fin, des drames mais où les gentils gagnent toujours et où les méchants sont (rayer les mentions inutile) décapités, brûlés, estropiés, emprisonnés,…. Ce petit créateur, qui n’avait rien fait d’extraordinaire jusqu’à présent, se mit à réfléchir tellement intensément qu’il en plissa des yeux. Il ne mangeait plus, ne dormait plus, ne fumait plus, ne… enfin vous voyez le genre quoi ! Anthony, car tel était son nom, en avait perdu le goût de vivre et plus il réfléchissait, plus ses yeux se plissaient et plus ses neurones s’activaient. Sa femme était bien ennuyée car elle l’aimait son Anthony qui n’aimait pas les feuilletons à l’eau de rose qu’elle adorait. Elle tenta plusieurs fois de lui faire entendre raison mais rien n’y fit. Plus le temps passait, plus son inquiétude grandissait et le jour où elle vit de la fumée sortir des oreilles de son mari, elle n’y tient plus : elle fit le 911 ! C’est à ce moment-là, alors que sa femme attendait depuis vingt minutes qu’on réponde à son appel d’urgence, qu’Anthony sembla sortir de sa transe plus ou moins mystique ! Il bondit brusquement en s’écriant :

— J’ai trouvé !!!

Sa femme faillit en faire une crise cardiaque (ça tombait bien puisqu’elle était toujours en ligne avec le répondeur des urgences). Elle courut dans le salon où il avait élu domicile et resta bouche bée en constatant que son époux était assis devant son ordinateur et pianotait si vite qu’elle voyait à peine ses doigts toucher le clavier. Elle tenta d’engager la conversation mais en vain. La grande machine CSI était en marche !

Chapitre 1 : Las Vegas

Durant près d’une semaine, Anthony ne quitta pas son ordinateur. Pianotant, pianotant et pianotant encore et encore sans que quiconque puisse l’en empêcher. Il parlait tout seul devant son écran par moments et sa femme réussit à saisir quelques bribes qui l’inquiétèrent encore plus. Homicide… poison… défenestration… viol… fluides corporels… analyse ADN… tout ça lui fit demander l’aide d’un ami proche de son mari : Jerry Bruckheimer. Anthony et Jerry s’étaient connus sur le plateau d’un film où le premier était scénariste et le second producteur. Ils avaient rapidement pris l’habitude de prendre un verre ensemble et de parler de tout et de rien (comme savent si bien le faire les hommes c’est-à-dire que leurs conversations se limitaient au boulot, aux femmes et aux voitures). Lorsque Jerry arriva, il remarqua les yeux fous et rouges de fatigue de son comparse derrière ses lunettes à monture carré.

— Mais qu’y a-t-il Anthony ?
— J’ai trouvé une idée fantastique qui va révolutionner le monde des séries TV !

Bien que sceptique, Jerry laissa Anthony lui expliquer de quoi il s’agissait tandis que la femme de ce dernier se félicitait de son idée merveilleuse d’appeler Jerry à la rescousse. Quelle idée n’avait-elle pas eu là, constata-t-elle près de trois heures plus tard alors que les deux hommes étaient toujours enfermés dans le bureau de son mari. Elle entendait des cris par moments et crut que la folie avait gagné les deux hommes. Que nenni ! (si, si c’est français comme mot !) Ce n’était pas de la folie, c’était juste les personnages qui naissaient de l’esprit déchaîné d’Anthony.

Ils commencèrent par le chef de l’équipe de nuit des CSI de Las Vegas : Gil Sheinbaum. Il lui fallait une personnalité renfermée, des problèmes de communication avec les autres (et les femmes en particulier !!!!) et une passion : l’enthomologie ! Mieux, c’était le meilleur dans ce domaine et il élevait des cafards de course pendant son temps libre ! Jerry trouva cette dernière idée moyenne mais son comparse était déjà en train de décrire le personnage suivant.

Catherine Willows superbe blonde plantureuse, ancienne strip-teaseuse, devenu CSI grâce à Sheinbaum. Elle devait être sexy tout en étant très professionnelle. Il l’affublèrent d’un ex-mari catastrophique et d’une fille qui allait devenir une peste au bout de six saisons mais ça, ils ne le savaient pas encore.

Il fallait une autre femme dans l’équipe ! Qu’à cela ne tienne, Sara naquit avec son caractère particulier, son apparence banale (et légèrement négligée) ainsi que son obsession pour Sheinbaum (essuie la bave que tu as sur le menton Sara, ça fait désordre !). Bien, ils avaient de quoi capter l’attention des hommes de moins de cinquante ans mais qu’en était-il de la ménagère ?

La réponse était simple : il fallait des beaux gosses dans l’équipe ! Nick vit le jour le premier. Jerry ayant vu un reportage intéressant la veille sur la reproduction des taureaux texans, il décida que Nick serait originaire du Texas, qu’il serait affublé d’une tripotée de sœur et d’un frère et qu’il serait bodybuildé avec un sourire ravageur. Il le voulait blond mais Anthony jugea que cela ferait trop surfeur débile dans le genre de Brice de Nice donc… il fut brun.

Restait une place qui devait être prise par une minorité ethnique… un beau gosse black mais où trouver cela ? Anthony se souvint d’un film que sa femme et lui avait loué dont l’histoire était plus que pourrie mais dont l’acteur principal (qui voulait faire un ménage à trois avec sa femme et une inconnue. Très mauvaise idée vu la fin du film en question, je ne vous conseille pas de faire la même chose messieurs !) collait tout à fait à ce profil ! Il alla rapidement sur IMDB (la meilleure base de données pour tout ce qui concerne le cinéma et non, je ne touche rien parce que je les cite !) et trouva le nom de cette perle rare : Gary Dourdan. Jerry resta bien dix minutes sous le charme de cet afro-américain qu’il découvrit en photos (google-est-mon ami.com et non, toujours pas de sous pour moi sniffff). Anthony se demanda rapidement si son ami n’avait pas viré gay mais déjà sa muse reprenait les commandes de ses derniers neurones et le nom de son personnage lui vint : Warrick Brown. Mais warrick ne pouvait pas se contenter d’être un black classe, il fallait qu’il ait une histoire, tragique de préférence, donc on lui ôta sa mère jeune, on le priva de son père et on le colla chez une grand mère bigote. Par-dessus le marché, on lui rajouta un problème : le jeu.

Il manquait un flic bourru et avec un cœur gros comme ça mais qu’il cachait sous une épaisse carapace d’ironie : Jim Brass. On le dota d’une fille avec qui les relations étaient plus qu’épistolaires et d’une ex-femme qui devint aussi mystérieuse que la femme de Columbo.

Et hop, l’équipe des CSI était née ! Il n’y avait plus qu’à… comme disait un grand sage que j’ai rencontré lors d’un trekking au Népal que j’ai fait dans un rêve il n’y a pas si longtemps.
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MessageSujet: Re: Le magicien des séries - Scilia   Le magicien des séries - Scilia Icon_minitimeLun 12 Juin - 13:35

Chapitre 2 : Miami

Les CSI avaient fait la fortune d’Anthony comme l’avait prédit son pote Jerry. Il gagnait tellement d’argent qu’il n’arrivait pas à le dépenser (mon numéro de compte est le… comment ça j’ai pas le droit ???? grrrr), sa femme était rassurée et adorait sa collection de fourrures (bouhhhhhhhh c’est pas bien de tuer les animaux pour ça ! Espèce de Cruella va !) et il avait eu la surprise d’être père quelques mois plus tôt. Alors qu’il regardait sa fille dormir comme un bébé, ce qu’elle était d’ailleurs, il réalisa que professionnellement il n’était pas heureux même si la profession tout entière avait salué son œuvre avec enthousiasme (bravo !!!!! ouais !!!!! génial !!!!!!!). Les fans se pressaient par milliers lors des interviews ou séances de dédicace, les ventes de DVD grimpaient vertigineusement et les fans étaient de plus en plus nombreux grâce aux rediffusions et à l’exportation du show mais… il y avait encore quelque chose qui manquait, se dit Anthony. Il soupira avant de se lever pour quitter la chambre de sa fille et remarqua une carte postale (qui avait été envoyé par sa belle-mère qui n’arrêtait pas de le critiquer car elle trouvait qu’il ne faisait pas un métier sérieux et tout l’argent accumulé n’y changeait rien… ah si, Anthony lui avait payé son voyage à Miami, et quelques autres, pour avoir la paix) accrochée au-dessus de la table à langer. Souvenir de Miami. Miami… mais oui, voilà ce qu’il lui fallait ! Il se retint de crier pour ne pas réveiller le bébé et courut en toute hâte devant son ordinateur.

La folie de la création le reprit. Sa muse flottait, victorieuse, au-dessus de lui et continuait de lui envoyer des idées. Le même principe mais une autre ville, une autre couleur, de nouveaux acteurs, de nouveaux décors, des méchants plus méchants, des explosions plus explosives, des… enfin bon, vous avez compris l’idée générale ! Cette fois sa femme ne s’aperçut même pas de la folie créatrice de son mari car elle était au club avec ses nouvelles amies et qu’elle partit ensuite faire un voyage d’agrément à Tahiti avec son amant (oui, je sais, le couple Zuiker ne va pas tenir très longtemps mais c’est pas ma faute !!!!!!!).

Le chef, cette fois, s’appelait Horatio Caine. Il était fait sur le même principe que Sheinbaum, qui avait été rebaptisé Grissom (en l’honneur d’un célèbre cosmonaute sur la demande de l’acteur) c’est-à-dire que question sentiments, il n’y pigeait rien tout en étant un peu moins obtus que son prédécesseur. Il fut doté d’un frère trop tôt disparu (paix à son âme), d’une belle-sœur flic plus que canon et d’un neveu dont en entendra presque jamais parlé dans la série ! Mais ce qui caractérisait avant tout Caine tenait dans un objet qui ne le quittait jamais : ses lunettes de soleil. Il avait grâce à elle, la classattitude ! Ah il fallait le voir lorsqu’il commençait une phrase, faisait une pause le temps de mettre (ou d’enlever) ses jolies lunettes de soleil avant terminer sur un ton dramatique !

Bien évidemment, il fallait une femme dans l’équipe. Anthony décida qu’elle serait blonde et loin d’être cruche : Calleigh Duquesne qui, bien loin de la blonde stéréotypée, avait eu une histoire familiale assez difficile à cause de ses parents alcooliques (bouhhhhhh pas beau !!!!! On ne le dira jamais assez que l’alcool est mauvais pour la santé ! Et le tabac aussi ! ). Mais la blonde était combative et devait s’en sortir ! Elle devint une si bonne experte en balistique qu’elle hérita d’un surnom qui fait blonde : bullet girl !

La minorité devant toujours être représentée, on dota l’équipe de Miami d’un excellent plongeur mi-russe mi-cubain (étonnant mélange mais bon, ils avaient peut-être que ça sous la main ce jour-là), affublée de trois sœurs et d’un père qui lui en voulait d’avoir suivit sa voie au lieu de reprendre l’entreprise familiale. Rajoutons que Eric Delko a une belle gueule, des mœurs plutôt légères par moments et un popotin d’enfer !

Il manquait quelqu’un… Anthony se creusa les méninges et Ryan Wolfe naquit (je sais, il apparaît qu’à la troisième saison mais je connais pas le zozo qu’il remplace). Il avait un flingue et une plaque de flic dans les mains donc il fut décidé qu’il serait… flic mais, car il y a toujours un mais c’est bien connu, il devint CSI au bout de quelques épisodes, bien décidé à montrer qu’il était à la hauteur de son job !

L’équipe de CSI Miami était née, Anthony se sentit aussi fatigué qu’après un accouchement mais ne résista pas à appeler son pote Jerry pour lui annoncer que le bébé était… euh non, la série était née !


Chapitre 3 : New York

Deux ans plus tard, Anthony n’était toujours pas heureux malgré le succès international de ses deux séries. Certes, il avait divorcé de sa femme et ne voyait plus sa fille que les week-ends mais il y avait autre chose, quelque chose de bien plus profond, qui rendait notre créateur malheureux. Il ruminait toute la journée, sentant que sa muse n’allait pas tarder à refaire son apparition et le mener à l’extase. Il n’avait pas tort, la muse en avait marre de dormir et avait hâte qu’Anthony se mette au boulot. Fit-elle exprès de le réveiller en pleine nuit après une journée particulièrement fatigante ? L’histoire ne le dit pas mais tout le monde sait que les muses sont taquines et n’en font qu’à leurs têtes !

Le premier personnage lui vint, il le fit ressembler à un ami qu’il côtoyait chaque jour à son travail. Un ancien marine, originaire de Chicago, reconvertit dans la police de New York. Son caractère était en acier trempé et il donnait rarement de seconde chance à ceux qui le décevait. Mac Taylor était quelqu’un d’aussi handicapé des sentiments que ses alters egos Grissom et Caine, un enquêteur têtu (et c’est peu de le dire !) qui ne cherchait pas seulement « qui » mais aussi « pourquoi » (ben oui, c’est important aussi pis on a aussi « ou », « comment »…) Hélas, triple hélas, notre Mac était devenu veuf suite à la mort de sa femme durant les attentats du 11 septembre et avait beaucoup de mal à s’en remettre.

Face à lui, il fallait une femme forte (mais non pas obèse !) et Stella Bonasera, avec ses origines grecque et italienne, (je vous raconte pas l’état dans lequel elle se met lorsqu’elle est en colère, son dernier petit ami se souvient encore des douze points de suture qu’il a eu après qu’elle l’eut trouvé au lit avec une inconnue… elle a dû changer de service de table après, je me demande pourquoi ?) était parfaite pour le rôle. Inspiré par son récent échec familial, Anthony décida qu’elle serait orpheline et embringuée dans un système qui lui a tout de même permis de s’en sortir contrairement, hélas, à beaucoup d’autres.

Le personnage suivant était flic, New-yorkais d’origine et le respectable descendants d’une lignée de policiers. En gros, Don Flack n’a pas voulu se casser la tête et a suivi le troupeau de mâles de la famille. Grand brun dégingandé qui n’est pas fichu de porter une veste en cuir avec classe (vous devriez voir Ice T dans New York unité spéciale, lui il a la classattitude !), ses méthodes n’étaient pas toujours catholiques mais donnait de bon résultats alors, comme c’est le beau gosse de la série, on lui pardonna volontiers ses écarts !

Un p’tit blond ! C’est ainsi qu’Anthony décrivit Danny Messer lorsqu’il inventa son personnage. Danny serait entre le bon et le mauvais coté de la loi dans sa jeunesse. Son frère faisait partie d’un gang qu’il refusa de suivre (faut dire qu’il faut avoir le cœur bien accroché quand on sait que l’examen d’entrée c’est de descendre quelqu’un… d’un autre coté, ça donne du boulot aux CSI !).

Chaque équipe se devant être un brin différente que la précédence, Anthony décida que le légiste outrepasserait souvent ses fonctions pour donner un coup de main à nos supers CSI avant d’en devenir un (c’est étrange cette manie de convertir des gens à se boulot, cf Wolfe). Il créa donc Sheldon Hawkes, un génie qui devint chirurgien à l’age de 24 ans (même s’il est mignon, je suis pas sûre que je lui aurais confié mon corps pour une opération par contre, pour autre chose… je suis partante !!!! ) et qui représentait les minorités ethniques à merveille !

Restait une place, occupée au départ par une actrice surnommée le poulpe par quelqu’un que je ne nommerai pas (quoique… nan, je vais pas lui faire ça, déjà que je l’ai tué dans une autre fic… je sais, je m’écarte du sujet) et qui a été remplacée par une demi-portion Lindsay Monroe. Venant du Montana, elle n’avait pas peur de sauter dans les poubelles pour trouver des indices et son caractère curieux l’amenait à vouloir en savoir toujours plus sur tout.

Cette fois Anthony en était sûr, il venait de mettre la dernière touche à son œuvre trilogique, sans doute pas aussi célèbre que celles d’un certain George Lucas, mais qui allait combler des milliers, que dis-je des millions de fans !

THE END
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Valmont
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MessageSujet: Re: Le magicien des séries - Scilia   Le magicien des séries - Scilia Icon_minitimeLun 12 Juin - 14:18

n'importe quoi
scilia tu as des fics en retard alors maintenant ça suffit !
Gzz si on te surveille pas tu pond n'importe quoi !
Un tit bravo quand même parce que ça m'a fait rire mais bon ze suis pas contente ^^
bravo bravo bravo
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MessageSujet: Re: Le magicien des séries - Scilia   Le magicien des séries - Scilia Icon_minitime

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