Un doudou à Paris - Raf - Fic en cours

ouais meme que !

toujours rien?

on va l'appater avec un orlando en tenue d'Adam, ca va peut etre la décider

C'est vrai ça elle est ou la suite ? Même Scilia nousa donné une suite ! Zut quoi !

orlando en tenue d'adam ca j'ai.tu as raison scilia elle l'aura pas tant qu'il n'y a pas de suite^^

faut il esperer une suite? raffffffffffffffffffffffff

tiens tiens y'en a quii espèrent encore ,^^

bin oui on s'attache aux perso comme d'autre fic je ne vise personne alors on aimerait connaitre leur sort ^^

Apres une tres longue absence vois une toute petite suite du doudou avec l'apparition de nouveaux personnages sortis tout droit de la série "La loi est la loi"
Enjoy the ride
Bisous
Lady H

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Simon se réveilla avec le plus grand mal de tête qu’il n’ait eu depuis un sacré bout de temps. Il resserra la couverture sur son corps endolori. En temps normal, les vêtements étaient le cadet de ses soucis, il se sentait très à l’aise avec son corps. Mais dans cette situation particulière, il se sentait vulnérable. Ses souvenirs étaient confus. La dernière chose qui lui revenait en mémoire était d’avoir fait l’amour à sa femme puis de s’être réveillé quand quelqu’un avait crié. Il regarda autour de lui. Il était enfermé dans une pièce sombre et humide sentant le moisi. Le clapotis de l’eau qu’il entendait à l’extérieur lui laissa à penser qu’il devait se trouver près de la mer ce qui, se dit-il, n’était pas une chose extraordinaire à Hawaii. Avant qu’il ait pu aller plus loin dans ses observations, la porte s’ouvrit et la lumière l’aveugla. Il ne distingua pas le visage des deux hommes qui l’empoignèrent et l’emmenèrent sans ménagement à travers un dédale de couloirs et plusieurs escaliers pour enfin se retrouver devant une porte en bois massif travaillée avec soin. De petites fleurs étaient sculptées en forme d’arabesques et ornaient les contours de celle-ci. L’un des hommes lâcha le Suisse pour frapper tandis que celui-ci remontait la couverture qui le recouvrait. Une voix familière leur demanda d’entrer. Le bureau dans lequel ils pénétrèrent était énorme et luxueusement meublé. Des toiles de maître ornaient la plupart des murs peints d’un beige reposant. Un coté de la pièce avait été aménagé en petit salon, où l’on pouvait se détendre tout en parlant affaire, et son opposé en un somptueux bureau, datant du début du siècle en pin massif, qui trônait près de la baie vitrée d’où l’on pouvait voir un jardin exotique luxuriant. Les deux hommes lâchèrent brutalement Simon qui eut du mal à maintenir son équilibre. Le fauteuil directorial était tourné vers la bibliothèque qui ornait le mur du fond et il ne pouvait voir qui se cachait derrière son enlèvement. La voix lui avait parut familière mais il n’arrivait pas à se rappeler où il l’avait déjà entendue. Quand enfin l’homme se tourna vers lui, le Suisse ne put en croire ses yeux ! Cet homme face à lui… Il était supposé être mort depuis quinze ans au moins dans une explosion ! Il cligna des yeux plusieurs fois pour être sûr que ce qu’il voyait n’était pas une hallucination.





Jack Styles regarda sa montre pour la dixième fois en cinq minutes. Son informateur était en retard. Celui-ci l’avait tiré de son lit en plein milieu de la nuit parce qu’il avait une nouvelle, qui, disait-il, était explosive. Malgré ses protestations, Matteo avait refusé de la lui révéler par téléphone. Et voilà qu’il faisait le pied de grue près des docks depuis près de vingt minutes au lieu d’être au lit en train de compter les taches de rousseur de Sarah. Il examina les alentours et ne distingua rien d’inhabituel. L’eau était noire ébène et la lune reflétait son croissant au milieu de la baie. Les lourdes grues et les chariots élévateurs, qui d’ordinaire faisaient un bruit assourdissant, avaient laissé place au clapotis de l’eau contre la jetée toute proche. Quelques lumières brillaient sur les cargos qui attendaient d’être chargés de marchandises de toutes sortes à destination du monde entier. Il aperçût enfin une ombre près d’un entrepôt. Il s’approcha tout en surveillant les alentours.



— Qu’est-ce que tu as pour moi ? Demanda Jack de but en blanc.

— Toujours aussi aimable à ce que je vois…, bougonna Matteo en regardant peureusement autour de lui.

— Toujours quand on me tire du lit à trois heures du matin et qu’on me fait attendre pendant presque une demi-heure, répondit le policier sur un ton sarcastique, alors que je pourrais faire l’amour à la plus belle femme du monde.

— J’ai dû prendre quelques précautions… je n’ai pas envie de me retrouver au fond de la baie avec les poissons.



Cette remarque attira l’attention de l’enquêteur qui détailla son informateur. Bien qu’il semblait excité, il pouvait sentir sa peur. Ses yeux gris cerclés de petites lunettes argentées, ses cheveux longs blonds en bataille et ses vêtements chiffonnés en disaient long sur son état d’anxiété. Il semblait ne pas avoir dormi depuis plusieurs jours.



— D’accord, d’accord, c’est quoi ton scoop ?

— Un casse…

— Un casse ?

— Ouais mais pas n’importe quel casse. Un diamant…l’un des plus gros du monde. Il vaut au bas mot 50 millions de dollars. Et aussi quelques babioles très coûteuses comme la rivière de diamant de la Tzarine qui est évalué à environ dix millions. Le milliardaire Arthur Warlock les a fait venir spécialement du continent pour une exposition qui doit commencer dans une semaine.

— Où et quand ?

— Warlock garde les bijoux enfermés dans un coffre spécial dans les sous-sols de l’hôtel Mercury. Y a qu’une personne qui ait jamais réussi à ouvrir ce type de coffre et tu sais quoi ? Elle est sur l’île.

— Qui est-ce ?

— Je sais pas, je n’ai rien pu savoir de plus.

— Quand doivent-ils passer à l’action ?

— Dans les prochaines quarante-huit heures, cela doit se passer avant que les bijoux ne soient officiellement remis à la ville pour l’exposition.

— Une idée sur l’identité de celui qui veut voler ce petit trésor ?

— Les rumeurs vont bon train. Y a un petit groupe de spécialistes qui a été recruté mais personne ne sait par qui, désolé Jack.

— D’accord, va te mette au vert jusqu'à ce que cette affaire soit finie, fit-il en lui en tendant quelques billets qu’il avait pris d’une liasse qu’il gardait dans la poche de son jeans.



Jack regarda Matteo s’éloigner et consulta sa montre. Il était près de quatre heures et demie du matin. Il savait qu’il ne réussirait pas à se rendormir après ce que lui avait révélé son informateur. Il soupira remonta en voiture et se dirigea vers son bureau pour faire quelques recherches. A la première heure, il irait voir ses collègues de la criminelle pour mettre au point une souricière pour les voleurs. Il devait aussi en informer McCabe qui sûrement voudrait y mettre son grain de sel. Mais surtout envoyer un gigantesque bouquet de fleurs avec une invitation à dîner à Sarah pour s’excuser de son départ précipité.

L’après-midi tirait à sa fin quand Jack entra dans la salle de réunion. Plusieurs inspecteurs et agents en uniformes attendaient de recevoir les dernières instructions avant de mettre en place la souricière. Le cambriolage, si cambriolage il devait y avoir, ne pouvait avoir lieu que le soir même. Le lendemain Arthur Warlock ferait transférer les bijoux dans l’enceinte de l’Hôtel de Ville où la sécurité avait été triplée et où il fallait montrer patte blanche pour y entrer. Il repéra McCabe entrain de parler avec le chef de l’Unité Spéciale. C’était un homme de presque cinquante ans, qui avait une expérience du terrain appréciable, mais qui savait surtout accepter de l’aide quand on la lui proposait.



— Du nouveau ? Demanda Jason McCabe.

— Rien de plus que ce que Matteo m’a dit, répondit Jack

— Je suppose que vous connaissez le Capitaine Voight ?

— Nous nous sommes déjà rencontré.

— Avez-vous pu discuter avec le service sécurité de l’hôtel ?

— Autant parler à un mur, bougonna Jack qui avait passé la moitié de l’après-midi à tenter de convaincre Warlock, et son chef de la sécurité, que la collection n’était pas en sécurité. Ils sont convaincus que personne ne peut déjouer leur système. D’après Warlock, c’est un ex-agent des services secrets, génie de l’informatique, qui l’aurait créé. Personne n’a jamais réussi à le passer malgré les quatre tentatives qu’il y a déjà eu.

— Mais ils ne s’opposent pas à notre opération de ce soir ? Demanda le policier.

— Non pas du tout, mais ils sont persuadés que nous perdons notre temps.



Le capitaine Voight se leva et se dirigea vers le tableau où était affiché un plan de l’hôtel. Il indiqua à chaque équipe sa place et le déroulement des opérations. Il demanda à ses hommes de faire preuve de la plus grande prudence. Ils voulaient prendre les cambrioleurs vivants, car d’après leurs dernières informations, l’organisateur de ce coup était responsable de la vague de crimes qui secouait l’île depuis quelques mois. Peut-être réussiraient-ils à faire parler les hommes de mains et mettre un terme à cette violence qui ne laissait aucun répit à la police.





Rafaela examina l’endroit où elle avait été enfermée. Elle se trouvait dans une chambre agréablement meublée, pourvue d’une petite terrasse qui donnait sur un grand jardin tropical. Après avoir passé les vêtements que lui avaient déposés son gardien et s’être débarbouillée dans la salle de bain, elle examina les possibilités d’évasion. Elle ne pouvait pas rester là tandis que Simon transgressait la loi pour la sauver. Elle regarda la nourriture posée sur un plateau mais songea qu’il n’était pas très raisonnable d’y toucher. Elle sourit en se disant qu’elle avait décidément vu trop de films policiers. Elle avait la sensation étrange que ce n’était qu’un cauchemar qui allait se finir d’un moment à l’autre dans les bras de son mari. La porte fermée à clé lui rappela brutalement que ce qu’elle vivait était bien la réalité. Raf soupira, elle se dirigea vers la baie vitrée. A sa grande surprise, la fenêtre n’était pas fermée. Elle sortit et regarda autour d’elle. Il devait bien exister un moyen de sortir de ce guêpier. Elle se pencha par-dessus la rambarde et remarqua que le balcon était soutenu, à chaque extrémité, par deux colonnes de pierre. Elle jaugea la distance la séparant du sol. Elle n’était pas sportive pour deux sous, les kilos qu’elle avait gardés de sa grossesse et qu’elle s’était promis d’éliminer après sa lune de miel risquaient de lui poser un petit problème. Elle se morigéna intérieurement. Si elle se laissait glisser doucement, elle pouvait réussir à retomber au sol sans trop de dégâts. Elle aperçut un garde et se baissa afin qu’il ne donne pas l’alerte. Raf résolut qu’il valait mieux attendre la tombée de la nuit qui ne devrait pas tarder si elle en jugeait par les différentes teintes que prenait le ciel. Elle revint à l’intérieur en laissant la fenêtre entrebâillée et s’assit sur le lit en attendant le moment d’agir.





Un van de couleur noir filait à vive allure sur une route longeant le bord de mer. A son bord quatre hommes assis en silence. L’un d’eux avait les mains attachées devant lui et était tenu en joue par un autre, grand, une large cicatrice barrant son visage sombre. Simon aurait bien tenté sa chance mais il connaissait assez Emery pour savoir que celui-ci n’hésiterait pas à mettre ses menaces à exécution. Il ne désirait en aucun cas risquer la vie de sa femme. Le plan était simple d’après son ancien complice. Ils devaient entrer par l’entrée réservée aux livraisons et y endormir les deux gardes. Un grand noir, dénommé Allan, spécialiste en électronique, devait neutraliser les alarmes. Davis et Marshall se chargeaient d’éliminer tous les gardiens. Une fois au coffre, il serait temps pour Simon de mettre à l’œuvre son savoir-faire. Le parcours sembla durer une éternité au Suisse et quand ils arrivèrent à destination il faisait nuit noire.



— Un seul mot et ta charmante femme est bonne pour le cimetière, murmura Davis en détachant Simon et en le poussant à l’extérieur du van.



Le Suisse ne répondit pas et tenta de se concentrer sur la tâche qui l’attendait. Il espérait qu’il n’avait pas perdu son doigté avec les années. Ils commencèrent à progresser en silence, ignorant qu’ils étaient surveillés depuis leur arrivée.





La nuit était tombée depuis un petit moment quand Rafaela se leva. Elle alla dans la salle de bain pour se rafraîchir un peu. Elle était consciente du risque qu’elle prenait mais elle ne pouvait pas attendre tranquillement que Simon détruise sa vie pour elle. Raf avait lu assez de romans policiers pour savoir qu’un fois que ce type n’aurait plus besoin d’eux, ils les tueraient sans aucun état d’âmes. Elle ne pouvait pas faire de sa fille une orpheline sans se battre, même si elle savait que Valérie prendrait soin d’elle si jamais il lui arrivait quelque chose. Elle ne voulait pas penser aux conséquences si jamais elle échouait, aussi prit-elle une profonde inspiration avant de glisser ses longs cheveux dans le tee-shirt qu’elle portait et de passer ses mains moites sur le caleçon que lui avait procuré son geôlier. La seule chose qui lui manquait, c’était des chaussures. Elle ouvrit la porte-fenêtre et se glissa silencieusement sur le balcon. Rafaela attendit que le garde qui faisait sa ronde s’éloigne pour enjamber la rambarde. La peur lui nouait le ventre, un poids énorme lui oppressait la poitrine. Elle se laissa glisser le long de la colonne jusqu'à ses bras ne la porte plus et que ses pieds ne trouvent plus aucun appui. Après un dernier encouragement mental, elle se laissa tomber lourdement sur le sol et sentit une vive douleur à sa cheville droite. Elle retint à grand peine un gémissement en se la massant, elle espéra que ce n’était qu’une entorse. Elle se releva à grand peine et, en boitant, alla se cacher dans les buissons. Le garde revint au moment même où elle s’y dissimulait. Rafaela avait repéré son chemin jusqu’au mur d’enceinte, elle espérait qu’elle arriverait à la grille d’entrée en le suivant.





Jack Styles était caché à proximité du coffre. Cela faisait quatre heures qu’il attendait et il était en train de maudire Matteo. Il imaginait mille supplices à faire subir à son indic pour lui faire passer toute envie de lui mentir à nouveau. Il était sur le point de battre le rappel des troupes quand l’un des policiers en faction à l’extérieur leur annonça qu’un van entrait dans le parking souterrain. Styles se renseigna sur la position des équipes avant de commander le silence radio. Il vérifia son arme et regarda le capitaine Voight faire de même. Quelques minutes plus tard quatre silhouettes firent leur apparition. Leur progression était lente et silencieuse. Jack fit signe au capitaine d'attendre encore un peu avant d'entrer en action.



— A toi de jouer, fit l'un des hommes en désignant le coffre à un second. Et n'oublie pas…. Si tu fais un pas de travers ou si tu tentes quoique ce soit….

— Pas la peine de te répéter…. Grogna ce dernier en empoignant une petite valisette et en ouvrant le panneau de contrôle du coffre.



Il avait à peine commencé à travailler qu’il entendit un bruit derrière lui et une voix crier.



— Police ! On ne bouge plus !

— On se tire ! Hurla Davis en sortant un pistolet et en se précipitant vers la sortie la plus proche sans se soucier de savoir si ses compagnons le suivaient.



Des coups de feu furent échangés et, avant que Simon ne puisse réagir, il se retrouva plaqué au sol par un policier en civil. Il tenta de se libérer mais son adversaire ne le laissa pas faire. Il lui passa les menottes en deux temps trois mouvements et le releva.



— Lisez-lui ses droits, ordonna Jack en laissant un policier prendre la relève.



Styles alla rejoindre le capitaine Voight sur le parking. Un des malfaiteurs avait été abattu mais deux autres avaient réussi à prendre la fuite. Le capitaine était en train de communiquer à toutes les patrouilles la description des suspects ainsi que des plaques d’immatriculation du véhicule qu’ils conduisaient.



— Alors ? Demanda Jack.

— Ils ont réussi à filer mais j’ai déjà fait le nécessaire pour que des barrages soient mis en place sur toutes les routes.

— Et celui-la ? fit Jack en désignant le corps à terre un peu plus loin.

— Je l’avais touché à la jambe et ses complices l’ont abattu pour qu’il ne parle pas. Et de votre coté ?

— On a arrêté le spécialiste en coffre. Il pourra peut être nous dire qui est derrière tout cela.



Deux policiers sortirent de l’immeuble escortant un Simon qui marchait tête basse, ils le firent monter dans une voiture de patrouille qui démarra en trombe toute sirène hurlante.



A Suivre.....

ouaaaaaaaaaaaaaaaaaaah c'es pas vrai .j'hallucine.tu vois valmont ca vaut le coup d'etre optimiste je m'y met des que je rentre de chez mon papa: fete des peres oblige .merci lady h gros bisous.commentaire plus tard

en même temps je me rappel plus ce qui s'est passé aant et je connais même pas les nouveaux personnagews ça me perturbe !
Qui a dis "raleuse ?"
lol
Merci Scilia c'est fun d'avoirla suite !!

j'ai rien fait moi

Citation :

en même temps je me rappel plus ce qui s'est passé aant et je connais même pas les nouveaux personnages ça me perturbe !

c l'occasion de relire l'histoire quant aux nouveaux perso tu trouvera plus d'infos sur eux ici http://www.hyjoo.com/sujet-19451.html

euh je crois que je vais faire pareil(relire l'histoire) car j m'etais arreter ave l'accouchement. ca va etre long....lol. voila ce que c'estque de mettre le temps pour les suites: il faut tout reprendre depuis le debut.grrrrr.flute je commence a raler comme valmont.merci quand meme lady h pour la suite.gros bisous a+

tu vois valmont ca sert d'esperer

pardon je m'avais trompé je voulais remercier lady h mais j'ai écris scilia !

Ben si on avait régulièrement des suites on serait pas obligé de tout relire ^^

bizz à toutes !

oui mais vous prenez du plaisir a relire non ???? Enfin moi oui, à tel point que j'ai été frustrée quand j'ai relu ma longue fic csi... oui, je sais lol

bon ben voila j'ai tout relu.je m'y retrouve .c'etait pas si complique.au passage la fic fait exactement 178 pages. mis a part ca toujours aussi bien en esperant que nous n'attendront pas aussi longtemps pour lire la suite car c'est trop bien.bravo lady h .bon courage pour la suite .bisous